samedi 1 novembre 2014

l'enterrement de Jean Anouilh

 
Le chien suivait l'enterrement du maître.
Il pensait aux caresses ;
Et il pensait aux coups.
Les caresses étaient plus fortes...
Dans le cortège, on s'indignait beaucoup.
On excusait la veuve — elle était comme morte.
On pardonnait à la maîtresse
(Elle était morte aussi).