lundi 31 décembre 2012
lundi 24 décembre 2012
jeudi 13 décembre 2012
jeudi 29 novembre 2012
dimanche 25 novembre 2012
vendredi 23 novembre 2012
mercredi 21 novembre 2012
samedi 17 novembre 2012
mardi 13 novembre 2012
samedi 3 novembre 2012
mardi 30 octobre 2012
curiosité et rêverie comme chemins de vérité
Pour ToiGrandMoiPetit (2)
« N'éteignez point en
vous le sentiment de la curiosité ; il faut seulement le conduire et lui donner
un bon objet. La curiosité est une connaissance commencée qui vous fait aller
plus loin et plus vite dans le chemin de la vérité. Il ne faut pas l'arrêter
par l'oisiveté et la mollesse. » La marquise de Lambert.
samedi 27 octobre 2012
lundi 15 octobre 2012
mardi 9 octobre 2012
jeudi 4 octobre 2012
dimanche 30 septembre 2012
la musique des oiseaux
A regarder, lire et écouter en musique
Ils m’ont guidée à toi.
On te cherche un peu partout.
Au fond de soi, chez les autres.
Chacun y mêle ses images, ses mots.
C'est la mélodie qui reste la même.
On ne sait plus où ni quand c’était.
Pourtant la légende dit qu’on y vivait en paix,
bercé par le chant des oiseaux.
Au fil des saisons, le va et vient des eaux
en avait modifié les visages.
Alors un jour, il a fallu tout quitter.
C'est pour se donner du courage,
qu'ils ont emporté ce chant précieux.
Au cours du voyage,
certains ont été séduits par les sirènes.
D’autres se sont perdus,
installés un peu partout sur la Terre.
Et le temps a suivi son cours.
Des générations se sont écoulées.
Il a fallu se reconstruire, accepter, lutter.
Toujours accompagné de ce petit air familier.
Aujourd'hui, il reste quelques souvenirs,
mais de plus en plus flous.
Et cette douce nostalgie qui saisit dès
la première note, envoûte, apaise.
Écoutez bien, on peut l’entendre,
aux quatre coins du monde.
Elle raconte la même histoire,
celle d’une mémoire effacée.
Les oiseaux chantent la mémoire du temps perdu.
Ils m’ont guidée à toi.
Mon île.
Mon île.
jeudi 27 septembre 2012
mercredi 19 septembre 2012
samedi 15 septembre 2012
jeudi 6 septembre 2012
vendredi 31 août 2012
lundi 20 août 2012
samedi 11 août 2012
mardi 31 juillet 2012
mercredi 18 juillet 2012
jeudi 12 juillet 2012
jeudi 5 juillet 2012
samedi 30 juin 2012
lundi 18 juin 2012
mardi 12 juin 2012
lundi 4 juin 2012
jeudi 10 mai 2012
le pouvoir de l'Art
Avec un petit clin d’œil au maître René Magritte (1898-1967) qui, au plus loin que je m'en souvienne, fut mon premier choc artistique.
jeudi 26 avril 2012
le poids de notre âme
"Certains disent que nos ombres sont plus ou moins denses
et reflètent le poids de notre âme"
et reflètent le poids de notre âme"
Extrait de Hank de Marc-Antoine Mathieu, Édition de l'An 2, 2004.
lundi 23 avril 2012
dimanche 15 avril 2012
lundi 9 avril 2012
lundi 26 mars 2012
mercredi 21 mars 2012
faire des bulles
Vive le printemps et vive la poésie!
La bulle.
Bathylle, dans la cour où glousse la volaille,
Sur l'écuelle penché, souffle dans une paille ;
L'eau savonneuse mousse et bouillonne à grand bruit,
Et déborde. L'enfant qui s'épuise sans fruit
Sent venir à sa bouche une âcreté saline.
Plus heureuse, une bulle à la fin se dessine,
Et, conduite avec art, s'allonge, se distend
Et s'arrondit enfin en un globe éclatant.
L'enfant souffle toujours ; elle s'accroît encore :
Elle a les cent couleurs du prisme et de l'aurore,
Et reflète aux parois de son mince cristal
Les arbres, la maison, la route et le cheval.
Prête à se détacher, merveilleuse, elle brille !
L'enfant retient son souffle, et voici qu'elle oscille,
Et monte doucement, vert pâle et rose clair,
Comme un frêle prodige étincelant dans l'air !
Elle monte... Et soudain, l'âme encore éblouie,
Bathylle cherche en vain sa gloire évanouie...
Albert Samain (1858-1900)
Sur l'écuelle penché, souffle dans une paille ;
L'eau savonneuse mousse et bouillonne à grand bruit,
Et déborde. L'enfant qui s'épuise sans fruit
Sent venir à sa bouche une âcreté saline.
Plus heureuse, une bulle à la fin se dessine,
Et, conduite avec art, s'allonge, se distend
Et s'arrondit enfin en un globe éclatant.
L'enfant souffle toujours ; elle s'accroît encore :
Elle a les cent couleurs du prisme et de l'aurore,
Et reflète aux parois de son mince cristal
Les arbres, la maison, la route et le cheval.
Prête à se détacher, merveilleuse, elle brille !
L'enfant retient son souffle, et voici qu'elle oscille,
Et monte doucement, vert pâle et rose clair,
Comme un frêle prodige étincelant dans l'air !
Elle monte... Et soudain, l'âme encore éblouie,
Bathylle cherche en vain sa gloire évanouie...
Albert Samain (1858-1900)
vendredi 16 mars 2012
lundi 12 mars 2012
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